J'avais rêvé d'un monde parfait,

Sans accroc et en harmonie,

Où chaque fleur et chaque enfant

Côtoyait Lions et ennemis.


J'ai espéré un monde sans faute,

Où chaque femme avait mari,

Uni ensemble pour l'infini,

S'aimant l'un l'autre pour la vie.


J'ai désiré un monde heureux,

Où les enfants rient de bonheur

Quand leurs parents se prennent au jeu

Et la famille est réunie.


J'ai inventé ce monde si doux,

Où l'on aimait sans retenue,

Où l'on donnait sans en souffrir

Et on servait avec plaisir.


Un monde de vie sans ombre noire,

Un monde de rire de tant d'enfants,

Ayant chacun une famille avec un père et une mère,

Remplis d'amour entre eux tous.

Un monde où Dieu me parle à moi,

Où je l'entends et je le vois,

Quand il me guide dans l'Amour,

De ma famille et puis d'autrui.


J'ai recherché cet inconnu,

Ce paysage et ce pays,

Où je pourrai vivre ce rêve

D'une vie meilleure pour mes enfants.


Et j'ai aimé mon avenir

En pensant à cet univers

Où mon époux serait heureux

Et mes enfants tellement joyeux.


J'ai travaillé au fond du cœur,

Me préparant à ce service,

Aimer les autres les aider,

Selon le plan de Dieu pour nous.


J'ai recherché mon compagnon,

Celui qui là bas pour la vie,

Me soutiendrai m'encouragerai

Et m'aimerai dans la confiance.




J'ai tant voulu de cette vie,

Où le mal aurait disparu,

Mais où alors sans un problème,

Nous pourrions vivre ce que nous sommes.


Un monde enfin où je suis femme,

Où l'homme que j'aime est mon ami,

Le père heureux de mes enfants,

Quand Dieu approuve tout cela.


Je voudrais tant croire en cela,

Y retrouver tous mes amis,

En découvrir tellement d'autres,

Et élever tous les enfants.


Mais on m'a dit que c'était faux,

D'ouvrir les yeux sur le réel,

Et j'ai trouvé ce monde perdu,

Où le bonheur est inconnu...


J'ai refusé de l'oublier,

Le bonheur que j'avais voulu,

Où mon désir prenait vie,

Créant la vie par tant d'amour...


Et j'ai trouvé la solution,

Le vrai bonheur au fond du cœur,

Il m'a parlé dans un murmure,

Quand j'étais seule sans avenir...


Et Il m'a dit : "ma chère enfant,

Ne t'inquiète pas du lendemain,

Recherche moi au fond du cœur,

Et tu connaîtras cet Amour

Que tu désir si ardemment...;


Cette famille et ces enfants,

Tu les auras je te l'assure,

Tu vivras le plus grand bonheur,

Je te parlerai chaque jour..."


Et j'ai compris et accepté,

Qu'il m'aimait tant, me connaissait,

Que mon désir sera comblé,

Quoiqu'en disent tous les autres.


Je ne sais pas ce qu'il y aura,

Un homme une femme, ça je le crois,

Les enfants ça encore bien plus,

Et des amis pour les aimer.


Un monde de vie sans ombre noire,

Un monde de rire de tant d'enfants,

Ayant chacun une famille avec un père et une mère,

Remplis d'amour entre eux tous.

Un monde où Dieu me parle à moi,

Où je l'entends et je le vois,

Quand il me guide dans l'Amour,

De ma famille et puis d'autrui...

Un monde de vie sans ombre noire,

Un monde de rire et d'harmonie,

Où l'amour règne sans partage,

Et chacun a ce qui lui faut,

Un monde où Dieu me parle à moi,

Où je l'entends et je le vois,

Quand Il me dit au fond du cœur,

Toutes les promesses d'un monde si beau...